Le livre de Valérie Trierweiler « Merci pour ce moment » suscite le débat.
Beaucoup estiment qu’elle a eu tort de sortir ce livre, disent que c’est du voyeurisme, que l’on est en train de lire quelque chose qui ne nous regarde pas.
D’autres pensent au contraire que ce livre révèle le coté obscur du chef de l’état, cet homme de gauche n’est en faite qu’un gosse de riche qui méprise les pauvres et n’aime que les endroits prestigieux.
Exemple dans ces deux extraits :
«Il s'est présenté comme l'homme qui n'aime pas les riches. En réalité, le Président n'aime pas les pauvres. Lui, l'homme de gauche, dit en privé “les sans-dents”, très fier de son trait d'humour.»
«Notre différence d'origine sociale est criante. Il se moque gentiment de moi, me surnomme Cosette. Il ne comprend pas ce blocage sur l'argent. Il ne peut pas l'imaginer, lui qui n'a jamais manqué de rien. Il lui faut toujours le meilleur, rien que le meilleur. Il aime les grands restaurants quand je préfère les bistrots, les grands hôtels quand moi je suis heureuse dans les petites auberges.»
On comprend bien dans ces passages que les valeurs de gauche sont totalement perdues.
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